Ma robe de mariée ? Je le savais.

SALUT ! J'écris un peu cet article un peu à l'arrache finalement. Mais j'avais envie de vous faire comprendre des petites choses. Enfaîte pour résumer, quand vous avez une idée dans la tête, que vous êtes quasiment certain que c'est la bonne. Foncer, ne regretter pas de ne pas avoir essayé même si finalement ce n'est pas ça. De quoi, je parle.. Je parle d'un tout , que ce soit en amour, que ce soit un objet, une robe, un costume, un maquillage, tout ! Ne laisser jamais quelqu'un vous dire que ce n'est pas fait pour vous. Bon, ok je vous raconte ! 

Il y a un moment maintenant, je vous ai publié mon envie fleur pour mon mariage, et dans celui-ci je vous parle que la prochaine fois ira ça sera mes envies robe de mariée, qu'est-ce que j'aime, j'avais même en idée de vous glisser celle que j'aimais beaucoup, mais finalement cet article se verra jamais le jour, parce que j'ai trouvé ma robe, celle que j'aime beaucoup. J'ai fait mon premier salon du mariage au mois de septembre, octobre je ne me souviens pas vraiment. Je l'ai vu, ma robe, la sure son mannequin. J'ai su, en tout cas je l'espérais vraiment très fort. Que ça soit ma robe, j'avais typiquement tout aimé d'elle. Mais pour moi il était encore trop tôt, le mariage n'était que dans 10 mois, j'ai attendu, j'ai attendu jusqu'à ce samedi 18 novembre. 

Mon premier essayage, la boule au ventre, le stresse, presque de la panique parce que je voulais que ça soit-elle de tout mon coeur je voulais qu'elle m'aille. J'ai presque mis une heure et demie à m'occuper de moi, il fallait que j'essaye de me calmer. Comme m'a dit un ami, ce n'est pas qu'un banal essayage, c'est l'essayage de sa robe, de sa journée, par n'importe qu'elle robe. J'avais tellement hâte de rentrer dans cette boutique, d'enfiler des robes, de jolie robe. Qui l'aurait cru? Le mariage était loin d'être dans ma tête, dans ma tête d'enfant oui, d'adulte non, pas de mariage, pas de tout ça. Mais maintenant que j'y suis... J'ai hâte d'être à son bras, et de lui dire oui. 

Premier pas dans la boutique, elle me demande ce que j'aime, le style, elle me pose beaucoup de questions, mais la première chose que je lui ai répondue, j'ai sorti mon catalogue, et je lui ai montré celle que j'avais dans la tête, les autres modèles étaient de très belle robe, mais moi j'avais celle-là en tête, je ne me voyais pas dans une autre robe finalement, c'était elle, c'est tout. C'était d'ailleurs très difficile de leur faire comprendre, je suis bornée et tant que je n'avais pas essayé celle-ci, je ne pourrais pas faire abstraction, tant qu'elle n'était pas sur moi pour confirmer que ce n'est pas ma robe, impossible de me l'enlever. 

Elles m'ont expliqué que la taille en magasin était loin d'être la mienne qu'elle n'allait pas l'enlever du mannequin. Déçu, je fais un peu la tronche, elles me font essayer une robe fermée, c'est-à-dire à ma taille, horrible, tout ce que je ne voulais pas. Elle n'est pas resté bien longtemps sur mon dos d'ailleurs, elle a enfin compris qu'elle n'allait pas avoir le dernier mot. Elle m'en enfile une autre, dans le style de ce que je veux, mais ce n'est toujours pas celle-là, les bras me dérangent, le décolter ne me plaît pas. Ma soeur décide de faire bien comprendre que je voulais essayer celle-ci, il fallait que je l'essaye de toute façon. Ma robe, est là, dans cette petite cabine d'essayage, elle me la glisse, pas à ma taille, mais je rentre dedans, elle ne ferme pas, tant pis. Je me sens, je sais pas... Je baisse la tête, je ne veux pas voir le visage de mes témoins, de ma famille.

Devant les miroirs, je laisse tomber la robe, je me regarde, je savais que c'était elle, c'était certain, elle est faite pour moi, elle cache parfaitement ce que je voulais cacher, elle est parfaite pour moi, vraiment, je me sens belle. La vendeuse, est d'ailleurs d'accord avec moi, cette robe était faite pour moi, je me tourne, je regarde le visage d'elles, elles sourit bêtement, pas de larme parce qu'elle n'était pas encore parfaitement à ma taille, toujours se sourire, des compliments, je le savais... Je le savais... J'étais tellement contente qu'effectivement cette robe était la mienne. Je l'aurais d'ailleurs bien gardé sur le dos.

Persisté, quand vous avez une idée en tête ne lâcher rien, ne regretter rien. Essayer tout de même, même si finalement la fin n'est pas très jolie. Essayer, il faut, ne repartez pas avec une déception, ne vous dîtes pas j'aurais dû essayer, pourquoi? Pour moi repartir sans essayer cette robe, c'était impossible, il fallait que je voie de mes yeux que cette robe n'était pas faîte pour moi, qu'elle est belle, mais pas sur moi, qu'elle n'est pas faîte pour moi. Votre instinct n'est peut-être pas toujours bon, mais écoutez le. 

Toute mes photos sont prises de Pinterest.